Résumé:
Sean Boswell est un risque-tout à qui sa passion immodérée des voitures de sport trafiquées a déjà attiré de sérieux ennuis avec la police californienne. Condamné après un accident, sa seule alternative à la prison est d'accepter la tutelle de son père, militaire de carrière basé à Tokyo.Gaijin (étranger) dans la ville la plus moderne et la plus sexy du monde, le jeune homme se sent plus exclu que jamais jusqu'au jour où un nouveau copain,
Twinkie, lui fait découvrir l'univers secret du drifting - le nec plus ultra des rodéos urbains. Un sport clandestin où l'audace, l'élégance et la fluidité de la conduite sont encore plus appréciées que la simple vitesse.
Sean est immédiatement accroché : son style de vie rebelle a trouvé sa parfaite expression dans le drift, ses périlleuses transgressions, son défi permanent aux lois de la physique...
Ce nouvel opus n'est pas le plus mauvais de la trilogie. Il a au moins le mérite de faire tabula rasa et de partir sur de nouvelles bases en supprimant tous les éléments des prédécesseurs (les voitures mis à part, bien sur).
Il y en a pour tous les gouts avec de beaux mecs pour ces dames, de belles mademoiselles pour ces messieurs, de belles voitures pour ceux qui veulent. Bref, il peut toucher un large public et les courses ne sont pas envahissantes. Evidemment, ne cherchez pas une histoire follement recherchée, ce serait une perte de temps. Non,
Tokyo Drift n'a qu'un but: nous divertir. Et de ce coté, mission accomplie. On ne s'ennuit pas et on sort de là détendu.
Les courses restent belles, sans improbabilité énervante (genre, une course de 400m qui dure 10 minutes alors que les voitures sont censées faire la course en 10 secondes). j'avoue que le fait que l'histoire se passe au Japon, me plait énormément.
A voir pour les fans du genre et méme les autres.